Programmes de subventions et financements offerts par microbusiness
Aperçu des subventions et financements disponibles
Depuis 1997, Microbusiness Training Centre, basé à Edmonton, accompagne la création et la croissance de très petites entreprises grâce à une formation pratique, du mentorat et un accompagnement individualisé. Sa mission est de rendre l’entrepreneuriat accessible à tous en outillant les personnes pour passer de l’idée à une entreprise viable. En tant que mandataire de dispositifs publics de soutien financier, l’organisme agit comme intermédiaire de confiance pour orienter les entrepreneurs vers l’appui approprié, tout en mettant l’accent sur l’inclusion, l’innovation et l’impact local.
Microbusiness Training Centre est né en 1997 d’une conviction simple et structurante : l’entrepreneuriat n’est pas réservé à quelques initiés, il devient possible dès lors que l’on dispose de méthodes claires, d’un cadre d’apprentissage concret et d’un accompagnement humain soutenu. Implanté à Edmonton et actif à l’échelle de l’Alberta, l’organisme a développé, au fil de plus de deux décennies, une expertise centrée sur la réalité des micro-entreprises et des travailleurs autonomes. Sa culture pédagogique repose sur le « faire » : des ateliers où l’on bâtit un plan d’affaires exploitable, des exercices où l’on affine une offre, des simulations financières qui apprennent à piloter sa trésorerie, des mises en situation commerciales pour comprendre ses clients et organiser ses opérations. Cette approche pas à pas transforme l’intuition entrepreneuriale en projet structuré.
Dès ses débuts, l’organisme a mis l’accent sur la transférabilité des compétences et la confiance en soi. L’idée fondatrice est que l’attitude et la planification pèsent davantage que le « profil-type » de l’entrepreneur. On n’attend pas des participants qu’ils se conforment à un moule ; on leur propose un cadre pour clarifier un marché, valider une proposition de valeur, établir des objectifs réalistes et mesurer des résultats. Les cohortes sont composées de personnes en démarrage pur comme de propriétaires de petites entreprises cherchant à stabiliser ou à relancer leur activité. Tous travaillent avec des formateurs issus du terrain et des conseillers qui aident à traduire les apprentissages en décisions concrètes.
Au-delà de la salle de classe, Microbusiness Training Centre agit comme un point d’ancrage dans un écosystème plus vaste. L’organisme tisse des liens actifs avec des ressources d’information aux petites entreprises, des institutions financières, des réseaux de mentors, des experts en comptabilité, en droit ou en marketing, ainsi qu’avec des organismes communautaires. Cette interconnexion permet à chaque participant d’accéder, au bon moment, à la bonne ressource : conseils juridiques pour choisir une forme d’entreprise, aiguillage vers un produit financier pertinent, éclairage sur la fiscalité des travailleurs autonomes, ou encore appui pour vendre en ligne et naviguer dans l’économie numérique.
Le rôle de mandataire de programmes de soutien financier occupe une place stratégique dans l’action de l’organisme. Concrètement, Microbusiness Training Centre reçoit mandat pour livrer des parcours de formation et d’accompagnement dont les frais sont pris en charge pour les personnes admissibles. Cet ancrage public permet d’ouvrir la porte de l’entrepreneuriat à des personnes qui, autrement, n’auraient ni les moyens de suivre une formation à temps plein, ni la latitude financière de consacrer plusieurs semaines à bâtir un projet. L’organisme accompagne l’évaluation de l’admissibilité, aide à comprendre les critères, synchronise formation et appuis au revenu lorsque c’est pertinent, et met en place un suivi pour que le soutien financier se traduise en progression tangible du projet. En maintenant la neutralité quant aux produits et aux intitulés officiels, il recentre l’attention sur l’objectif : donner à des personnes motivées un chemin praticable vers l’activité autonome.
Les orientations de ces dispositifs, telles qu’elles sont mises en œuvre par l’organisme, privilégient quatre axes. Le premier est l’inclusion : accueillir des profils variés – nouveaux arrivants, personnes en réorientation, jeunes, femmes, travailleurs expérimentés, résidents de régions rurales – et adapter les modalités d’apprentissage aux besoins réels. Le deuxième est l’ancrage local : encourager la création d’entreprises qui répondent à des besoins concrets des quartiers et des communautés, des services de proximité à la consultation spécialisée, en passant par l’artisanat et les micro-services numériques. Le troisième axe est l’innovation pratique : intégrer dans les parcours des contenus actuels sur le marketing digital, le commerce électronique, la présence en ligne, l’automatisation légère, l’utilisation d’outils collaboratifs et la protection de la réputation numérique. Le quatrième est la durabilité opérationnelle : amener les entrepreneurs à piloter leurs coûts, comprendre leurs marges, gérer leurs cycles de trésorerie et structurer des indicateurs simples qui guident les décisions.
L’expérience accumulée a permis de formaliser un cheminement en plusieurs étapes. Une phase d’apprentissage intensif, souvent sur 8 à 10 semaines, consolide les fondamentaux : étude de marché, création d’offres, tarification et structure de revenus, planification opérationnelle, obligations légales et fiscales, gestion financière et tactiques de commercialisation. Chaque participant y développe un plan d’affaires exploitable, des prévisions financières de base et une feuille de route de 90 jours. Suit une phase d’implantation, généralement sur 16 à 18 semaines, durant laquelle l’entrepreneur commence à vendre, formalise ses premiers contrats, ajuste son positionnement et met en place des routines de gestion. Cette phase est soutenue par du mentorat individuel régulier : séances de coaching, rétroactions sur les premiers résultats, résolution de problèmes (fournisseurs, fixation de prix, cycle de vente, promotion), et accès à des spécialistes au besoin.
La dimension humaine est centrale. Les conseillers insistent sur la création d’habitudes qui font la différence à petite échelle : tenir un registre de flux de trésorerie simple mais à jour, définir des objectifs de prospection hebdomadaires, documenter les hypothèses de coût et les réviser après chaque vente, ritualiser la veille concurrentielle et l’écoute client. Le groupe-pair joue aussi un rôle puissant : les entrepreneurs apprennent les uns des autres, se tiennent responsables, partagent des solutions, et, parfois, collaborent commercialement. Dans ce cadre, l’organisme anime des rencontres où l’on présente ses avancées, ses obstacles et ses prochaines étapes, cultivant une dynamique de progression continue.
Au fil des années, l’organisme a accompagné le lancement de milliers de micro-entreprises dans des secteurs très divers, du service professionnel à la fabrication artisanale, de la restauration à la technologie appliquée, de l’économie créative aux services à la personne. Cette diversité force une pédagogie flexible : on n’enseigne pas un modèle unique, on apprend à modéliser son propre métier. Ainsi, l’analyse de la demande locale pour une entreprise de services ménagers ne se fait pas comme pour une boutique en ligne nichée ; la structure de coûts d’un consultant indépendant diffère de celle d’un atelier de production alimentaire. Les conseillers aident chacun à repérer les trois ou quatre leviers économiques qui « font » le modèle – taux d’occupation facturable, panier moyen, rotation des stocks, coût d’acquisition client – et à bâtir des rituels de pilotage autour de ces leviers.
L’organisme a aussi su faire évoluer ses modes de prestation. Le passage au virtuel a permis d’élargir l’accès aux personnes éloignées géographiquement ou contraintes par des horaires atypiques, tout en préservant l’interactivité : classes en direct, travaux guidés avec gabarits numériques, salles de discussion pour la pratique commerciale, interventions de praticiens externes, et séances de réseautage structurées. Cette hybridation a renforcé l’équité d’accès, en particulier pour les entrepreneurs ruraux et pour ceux qui conjuguent responsabilités familiales et projet d’affaires.
Le rôle de mandataire implique également une reddition de comptes disciplinée : indicateurs d’assiduité, de progression, de démarrage et de maintien d’activité, qualité des plans d’affaires, participation aux séances de mentorat, satisfaction des participants. L’organisme met l’accent sur des mesures qui ont du sens pour des micro-structures : délai entre plan et premières ventes, stabilité des premiers clients, régularité des pratiques de gestion, et capacité à ajuster l’offre après les retours de terrain. Les apprentissages collectifs nourrissent des améliorations continues du curriculum : nouveaux modules sur la tarification de la valeur, la gestion des rendez-vous numériques, la création d’offres récurrentes, l’exportation à micro-échelle ou la gestion des risques (assurance, clauses contractuelles, sauvegarde des données, cybersécurité de base).
En parallèle, l’organisme valorise des thématiques d’impact. L’inclusion économique se traduit par des cohortes diversifiées et des modalités adaptées (rythmes de formation, accompagnement linguistique au besoin, contenus contextualisés). L’impact local se lit dans la densification d’un tissu de petites activités qui répondent à des besoins concrets : entretien, garde d’enfants, soins à domicile, alimentation, culture, services numériques de proximité, maintenance spécialisée. L’innovation est abordée sous l’angle de l’usage raisonné : choisir des outils simples qui libèrent du temps (facturation, prise de rendez-vous, CRM léger), adopter des canaux pertinents plutôt que d’être partout, tester en petit avant d’investir. Enfin, la durabilité opérationnelle encourage les modèles sobres en capital, l’ajustement progressif des coûts variables, la constitution d’une réserve de sécurité et la maîtrise du cycle de vente.
Ce positionnement – proche des personnes, rigoureux sur l’exécution, connecté aux ressources du territoire – explique la confiance renouvelée des partenaires publics et communautaires. En gardant le cap sur l’essentiel, Microbusiness Training Centre transforme des intentions en entreprises qui existent, vendent, apprennent et s’améliorent. Les résultats se constatent autant dans les chiffres de démarrage que dans les trajectoires individuelles : des personnes qui passent d’une idée à des premiers clients, d’une activité informelle à une structure légale, d’un emploi précaire à une autonomie consolidée. Cette avancée, qui peut sembler modeste à l’échelle macro, produit un effet multiplicateur dans les familles, les quartiers et les réseaux professionnels. L’organisme montre ainsi qu’en mettant l’accent sur l’accompagnement de proximité, l’accès équitable au soutien financier et la discipline opérationnelle, on peut bâtir une économie plus inclusive, plus résiliente et plus inventive, une micro-entreprise à la fois.
1 opportunités disponibles

Subvention et financementConseils d'expertsOuvert
Formation à l'emploi indépendant
microbusinessAccompagnement en ligne pour développer et lancer efficacement une petite entreprise
Financement admissible
- Jusqu'à 86% du coût du projet
Industries admissible
- Construction
- Commerce de détail
- Industrie de l'information et industrie culturelle
- Finance et assurances
Types de projets admissibles
RESSOURCES HUMAINES